Les aventures du Victory

La surprise était de taille. Le chancelier suprême des providiens en personne venait proposer humblement son aide.

Il fallut quelques instant aux deux hommes pour accepter les paroles du guerrier. Après un silence de quelques secondes, Dejond et son second se regardèrent dans les yeux comme pour se faire confirmer qu'ils avaient bien compris.

Dejond fini par rompre le silence en s'adressant au providien

- êtes vous venu nous apporter la paix? dit-il

les plus observateurs auraient pu voir un bref sourire apparaître sur le visage du chancelier. Il constatait soudain tout le mal et le chaos qu'il avait apporté lors de son attaque. Il sait désormait que la seule chose que la race humaine souhaite c'est la paix. Par les quelques mots prononcés sans réflechir par le plus haut chef militaire de la confédération, Wi-dadou savait qu'il pouvait demandé n'importe quoi.

Pourtant, et il en fut le premier surpris, l'ancien chancelier providien ne chercha pas a tirer avantage de sa relative position de force. Peut-être que les circonstances de leur rencontre, au fond d'une cellule dans cette prison lunaire, donnait une vision déformé de la réalité.

- Je viens vous apporter une alternative à la guerre. Si vous, vous voulez appeler cela la paix libre à vous. Dit le guerrier Providien en masquant difficilement son envie de sourire. Soudain devenu plus sérieux, Wi-dadou entra dans une série d'explications sur la situation sur la planète Provide.

Note race est en pleine guerre civile, dit le chancelier. Disons que vos exploits et le manque d'informations ont réussi à déstabiliser mon autorité.

Autrement dit, vous vous êtes fait jetter du pouvoir? Dit Malhax non sans ironie

- Je ne dirai pas cela. J'ai suffisement de partisans pour reprendre mon dû. La maison des Dadou's est puissante et je suis certain que quand cette guerre civile se terminera, je serai à nouveau l'homme le plus influant de mon peuple.

- Alors que venez-vous faire là? demanda Dejond de plus en plus intrigué par cet individu prétentieux.

Wi-Dadou observa un bref moment les deux officiers. Un fois encore il dû réprimer une envie de sourire. La situation l'amusait visiblement. Après quelques secondes, il fini par sortir de ses pensées pour continuer ses explications.

- Je ne veux prendre aucun risque. Je veux être certain que je pourrais reprendre le contrôle de mon peuple. J'ai besoin de vous pour retrouver un objet. une machine qui, si elle est utilisé comme il faut vous apportera la paix et à moi la gloire.

Malhax ne pu se retenir de penser tout haux et lacha, non sans le regretter "La Regrappia? Cela serait donc vrai?"

Dejond le regarda avec fureur, son second venait de révéler une information confidentielle au pire ennemi de l'humanité. Mais au lieu de nier ou de réprimander son adjoint, il décida de bleuffer.

- Si c'est effectivement de la Régrappia dont vous êtes venu nous parler, nous vous remercions mais nous avons déjà un informateur à ce sujet. Donc si vous n'avez rien d'autre à nous dire, nous allons prendre congé.

Wi-dadou, qui était incontestablement un grand guerrier et un excellent meneur d'homme, n'était pas pour autant un grand tacticien. Il parrut totalement déconfit et essaya tant bien que mal de retrouver un semblant de dignité.

- Comment est-ce possible? Hurla-t-il soudain comme il le faisait lors des séances du conseil. Vous savez donc tout sur les Normalit? Mais alors qu'attendez-vous pour vous rendre sur la planète Centaurus et rechercher la machine?

A nouveau Malhax et Dejond eurent un regard l'un pour l'autre et Malhax sourit.

- C'est que, nous devons organiser l'expédition. vous savez les humains ne se lance pas à la chasse au artéfacte sans un minimum de préparation. Dit Malhax.

Après quelques secondes de silences, Dejond tenta un nouveau bleuff

-Dites moi Wi-dadou, savez-vous qu'en vous présentant ici vous vous constituez notre prisonnier et que vous ne quitterez jamais cette cellule?

- Le Providien rugit de colère avant de lancer. je n'en attendais pas moins de votre part misèrable humain. j'imaginais pouvoir marchander avec vous. Mais ce ne sera pas possible. Je vous demande respectueusement, en tant que votre ennemi de pouvoir pratiquer le rituelle de Malchour en l'honneur du grand Wi - Willou. Aussi voudriez-vous bien me donner une lame non éguissée et rouillé si possible.

- En quoi consiste le rituelle de  Malchour? Demanda Malhax légérement amusé par tout le cérémonial de Wi-dadou

- Cette question, dit le chancellier suprême, il s'agit du don de ma vie au dieu, je dois le faire de la façon la plus douloureuse qu'il soit afin que mon agonie soit longue et pénible. Il n'y a que comme cela que je pourrai laver mon honneur.

Dejond, qui un bref instant se lassa tenté par l'idée de se débarasser de son ennemi, se décida à intervenir.

- Wi-dadou, dit-il d'une voix calme et paternaliste. Il n'est pas question de vous laisser vous donner la mort. Mais comme il n'est pas question non plus de vous laisser partir, j'ai une proposition à vous faire. Rejoignez-nous à bord du Victory, aidez-nous à trouver la Regrappia, et le temps venu nous vous aiderons à retrouver votre trône.

- Quoi? hurla Malhax. Commandant vous êtes devenu fou? Le Commander ne tenait plus en place, il gesticulait dans tous les sens en hurlant les pires obscènités.

- Commender Malhax, répondit Dejond de plus en plus calme, je ne crois pas vous avoir demandé votre avis. il se retourna vers Wi-dadou, quant à vous je vous laisse une nuit pour décider. Vous connaissez vos conditions. J'ajoute que si vous refusé, vous resterez dans cette cellule, et je veillerai personnellement à ce que vous ou quiconque vous fassiez le moindre mal. sur ce, nous allons prendre congé.

Sans laisser le chancelier dire le moindre mot, Dejond poussa Malhax vers la sortie.

- Commandant Dejond, je me dois de protester contre votre décision, c'est de la folie, le chancelier surprême des Providien à bord du Victory, vous vous imaginez la réaction de l'équipage?

- Commander, je comprends votre réaction, mais à l'avenir je vous prie de ne plus jamais me contredire en publique et encore moins face à l'ennemi. Si j'ai invité Wi-dadou sur le Victory c'est parcequ'il semble en savoir plus que nous sur la régrappia, que les Providiens sont des grand guerriers et qu'il pourrait nous être utile. Enfin, si par malheur ses amis essayes de le retrouver je préfère le savoir à bord du Victory qu'a proximité de la seule colonie humaine encore entière.

Précédés par le soldat en charge de les prévenir, Malhax et Dejond marchèrent un court moment à travers le dédal de ruelles qui séparaient la chambre du commender à la prison lunaire.

 En chemin, Ils passèrent par le grand marché de la colonie. Il s'agit d'un hangar de plusieurs centaines de mètres dans lequelle on retourve toutes sortes de marchant. C'est ainsi qu'une honnête mère de famille pourra trouver des légumes hydroponiques, les protéines essentiels ou encore des mets raffinées et rares tels que les pistaches, les pommes, le miel, le beurre ou encore certains fruits de mer que l'homme n'a pas totalement détruit au court de sa quête du profit. Comme tout temps, les marchés sont les lieux de commerces et de rencontre par excellence. Au détour d'une allée nous retrouverons ici le marchant de légumes, là le vendeur du nouveau produit miracle qui hurle à qui veut l'entendre que sans son détache tout la vie sera moins belle.

Mais, nos deux héros n'ont pas le temps de faire leur course, d'un pas pressé ils se rendent directement vers l'extrêmité Est du hangar, juste en face se trouve la prison de la colonie. C'est l'un des plus vieux batiment  construit sur la Lune. Lorsqu'il avait été décidé de construire une colonie, cinquantes ans plus tôt, les dirigieants de l'époque sachant qu'une nouvelle vie attire imanquablement tous types d'individus, avaient voulu disuader les criminels en puissances en construisant une batisse impressionnante.

Haut de dix étages, long d'environ deux cent dix mètres, La prison coloniale signalait clairement que la justice serait implacable pour qui ne respectait pas les lois. Le bâtiment était répartit en plusieurs étages, le rez-de-chaussée étant destinées à l'administratif, au première étage se trouvait le tribunal, les sept autres étages étant réservé aux détenus. Le dernière étage est quand à lui aux prisionnés d'importances.

Malhax et Dejond se dirigèrent directement dans le secteur haute sécurité. Là, un caporal poussa sur une série de boutons qui permirent à un sas, séparant le couloir de haute sécurité du hall, de se remplir d'air. Ce systhème évitant tout risque d'évasion, les détenus étant séparés de la "civilisation" par un vide d'air qu'il est impossible de franchir, avait été créé pour réduire le nombre de personnel détaché à la surveillance des prisonniers.

Une fois franchis le sas, les deux officiers marchèrent quelques dizaines de mètres le long du couloir de surveillance, sans jetter un regard sur les  détenus, les deux hommes s'arrêtèrent devant la cellule numéro J18.

Quand la porte s'ouvrit, laissant apparaître un être d'environ un mètre quatre-vingt et très poilu. Instectivement William Malhax qui reconnu un Providien chercha son arme de service normalement pendante à son ceinturon. Heureusement pour le prisionnier les armes sont interdites à l'intérrieur du bâtiment et son arme était resté au rez-de-chaussée.

Dejond, bien moins impulsif que son second, posa la main gauche sur l'épaule de William, comme pour l'inviter à se calmer. Il se tourna et contempla un bref instant le captif. Sur son uniforme, il distingua les signes de la chancellerie accompagnés de deux scarabés Cortex séchés sur les épaules. Le Commender Dejond avait étudié de prêt la civilisation providienne. Il savait donc que les scarabés Cortex, sorte de très grosses fourmis avec coquilles, sont les symboles du pouvoir. Le Providien qui se trouvait là ne pouvait donc qu'être un membre du gouvernement.

- Qui êtes-vous et que venez-vous faire ici ? Demanda Malhax sortant par la même occasion Casimir de ses pensées.

Le Providien, resté immobile tout ce temps, approcha de quelques pas et son visage apparu à la lumière.

- Je m'appel Wi-Dadou, je suis le chancelier suprême de la nation Providienne et je suis vennu vous proposer mon aide!

Partons à la découverte du monde tel qu'il se trouve aujourd'hui.

Commençons par la terre... Vaste champs de ruine composé de quelques millions d'âmes vivants un peut partout sur le planète.  L'attaque des Providiens a été si terrible que certaines fédérations ont été complètement détruite.

Une fédération est une association de deux millions, ou plus, de citoyens ayant la volonté de bâtir un avenir commun. Ils élisent un représentant unique qui siègera au parlement de la confédération. Chaque citoyen de plus de dix-huit ans peut également choisir le président de la fédération, élu pour 5 ans renouvelable. Ce dernier choisira vingts aides ou ministres qui auront la charge de mener à bien sa politique.

La nouvelle politique instaurée par Garverson, a prouvé toutes son utilité pour les générations avenir. Chaque fédération produisant ce dont toute la confédération a besoin.

Depuis une cinquantaine d'année, une nouvelle fédération a vu le jour, sur la lune. La colonie lunaire est déjà forte de 10 millions d'âmes et possède le plus riche gisement Thorium, qui réduit à la forme liquide par un procédé appelé Thoriliquéfaction, permet aux vaisseaux spatiaux de voyager à la vitesse de la lumière.

Depuis une dizaine d'année et surtout après l'attaque providienne, la peuplade des Nox, située sur Titan, est de plus en plus désireuse de rejoindre la fédération.

Ce peuple très avancé technologiquement avait adopté une attitude passifiste et non interventionniste, cette attitude a cependant changé après que les providiens décidérent d'exterminier toutes formes de vie hostile à la leur pour quelques motifs que ce soit. Ce peuple, vivant sous terre dans un endroit privé de toutes végétations se nourris exclusivement de minéraux.
Le chef des Nox, Maître Kindou, a récement fait une offre de partenariat rapprocher à la confédération.

En échange de la protection des humains, les Nox offriraient leurs technologies.

Ceci termine cette petite balade de la confédération...

Ceux qui connaissent l'auteur (génial) de ce blog savent à quel point il est fan de la série Stargates.

Je viens d'apprendre que plus que la série SGU, c'est la franchise qui est mise à la poubelle.

Le monde télévisuel perd donc un grand nom dans la série et ce blog perd une muse incomparable

Avant de commencer ce blog j'ai longtemps hésité. je pouvais aussi reprendre la série en mode roman et continuer l'aventure.

Mais qui suis-je pour rivaliser avec le génie des auteurs de Stargates?

En ce qui concerne la suite de ce blog, je vous rassure cela viendra... mais pas avant encore une quinzaine de jours... j'espère naturellement plus tôt mais la rédaction me prends du temps héhé

Sur ce à très vite

Mesdames et Messieurs, bonjour!

Je suis Albin Pham et vous êtes en direct.

Bienvenu sur Channel Confed, la chaîne d'informations en direct.

Nous avons le plaisir de recevoir monsieur le président Visconti pour une courte interview.

Alors au nom de tous nos visio-spectateurs, merci monsieur le président de nous consacré quelques instant.

- C'est tout naturel Albin!

Albin: La première question que nous avons tous envie de vous posez: Monsieur le président Allez-vous vous présenter pour un nouveau mandat?

Visconti: Comme la loi le prévoit, après un mandat de 5 ans qui se terminera d'ici quelques mois, je demanderai à la population un vote de confiance et me proposerai à un nouveau mandat.

Albin: La population se remets à peine de l'attaque surprise des Providiens. Certains penses que la lenteur administrative et l'obligation de réunir le parlement avant rassembler l'armée à fait perdre de précieuses heures à la confédération. Qu'en pensez-vous?

Visconti: Je suis profondément attaché aux valeurs de la confédération. C'est grâce a ce système que nous avons pu éviter des guerres. Malheureusement, la confédération n'a jamais prévu une attaque à grande échelle d'une autre race.

Albin: cela veut dire que vous pensez qu'il faut modifier la constitution?

Visconti: Nous devons avoir cela à l'esprit. Mais je pense aussi que nous devrions négocier une entrée dans la confédération de peuplade comme les Nox. Ils ont une technologie à la pointe du progrès et nous avons de nombreux échanges économiques avec eux. Il s'agirait d'une étape naturelle.

Albin: Vous touchez ici un sujet sensible. L'idée de voir un jour un Nox diriger la confédération terrifie ou horrifie un bon nombre de confédéré.

Je vous remercie Monsieur le président, nous allons passer aux traditionnels concours.

Chers téléspectateurs gagnez dès aujourd'hui un voyage à bord du Passific, un vaisseau quatre étoiles en répondant à cette question:

Le président va-t-il se représenter? 200 dollars confédérés par message envoyé.

Maintenant que Malhax était réveillé, il sortit du lit en prenant soins de ne pas réveiller son épouse pour se rendre à son bureau.

Il voulait consulter les archives de la confédération.

Bien que très complexe, le réseau informatique est très simple d'utilisation. Toutes les informations sont centralisées dans un ordinateur. Cette centrale contient toutes les données répertoriées depuis plus de deux cents ans. Ainsi, chaque rencontre, chaque homme politique, chaque découverte est consignée dans ce super ordinateur qui, au fil des ans, est devenu une mémoire phénoménal qui sert à la fois à diriger et à informer la population. Que l'on soit à bord du Victory ou, comme Malhax, sur la colonie lunaire, c'est toujours l'ordinateur central qui traite la demande.

Décidé à rechercher dans la base de donnée des informations pouvant l'aider a trouver des réponses à l'énigme posée par Gabe, le commender pressa le bouton intercom lui permettant de communiquer vocalement avec l'appareil.

- Ordinateur, dit-il à voix basse pour ne par perturber le lieutenant Nastasi. Existe-il une peuplade nommée les Nor It?

RECHERCHE EFFECTUEE ! NOM DE PEUPLADE INCONNUE.

Cela aurait été trop beau. Naturellement le commender Malhax n'espérait pas que la solution soit aussi évidente. Il tenta donc une nouvelle approche.

- Bien, dans ce cas, commence une recherche sur une civilisation dont le nom commencerait par Nor et finirait par It.

RECHERCHE EFFECTUEE: NORAMALIT, NORMALIT, NORDONRIT, NORWILIT,NORTEBALIT, NOR XE IT. LA RECHERCHE EST TERMINEE.

- Merci, à présent élimine les peuplades qui n'ont pas une avancée technologique au moins égale à la notre.

CETTE RECHERCHE DOIT-ELLE CONTENIR LES CIVILISATIONS ETEINTES?

- Affirmatif.

RECHERCHE EFFECTUEE: NORMALIT, NORDONRIT ET NOR XE IT.

Soudain, Malhax tape le poing sur son bureau.

- Bon sang, si au moins je savais où chercher! Je n'ai pas le moindre indice.

Le commender passa le reste de la nuit à rechercher toutes les informations possibles sur ces trois civilisations. Cette nuit blanche ne servira malheureusement à rien. Au petit matin William n'obtient aucun résultat probant.
Pourtant le règlement de la confédération imposait qu'il informe son officier en second de la visite de cet être étrange qui se faisait appeler Gabe. Mais le croirait-il? Lui-même avait toujours un doute quant à l'authenticité  de ce personnage.

- Ordinateur! dit-il en se redressant de son siège pour revêtir son uniforme. Où se trouve le commandant Dejond?

L'AMIRAL DEJOND SE TROUVE DANS VOTRE QUARTIER. DOIS-JE L'APPELLER?

- inutile ordonna Malhax. Il doit certainement venir me chercher, nous avions rendez-vous pour une inspection à bord du Victory.

effectivement, le commender ne dû pas attendre plus d'une minute avant que le plus haut officier de la confédération ne sonne à son logit de fonction.

Après s'être salué, Malhax, comme à son habitude entrat dans le vif du sujet.

- Mon commandant, dit Malhax. Je dois vous faire part d'une information très importante. Vous vous souvenez de mon apparition survenue peu avant l'attaque des Providiens? Et bien j'ai reçu une nouvelle visite cette nuit.

- Pensez-vous que nous ayons à subir une nouvelle attaque? Demanda Dejond qui craignait le retour des Providiens avant que les défenses ne soient opérationnelles.

- Gabe ne m'a rien dit à ce sujet. Il est venu pour me parler de l'existence d'un appareil capable d'apporter la paix dans notre galaxie. Répondit Malhax en essayant de dissimuler une certaine excitation.

- Vous voulez dire qu'il est possible de battre les Providiens? Demanda, intrigué, Casimir Dejond.

William sourit un bref moment, avant de répondre:

- Si Gabe vous entend il ne doit certainement pas être heureux. D'après lui, l'appareil en question n'est pas un engin de guerre, mais une machine capable de nous permettre d'exister en paix.

-Expliquez-vous ! Dit Dejond

- Il m'a envoyé à la recherche de la Regriappa. il a disparu avant de m'en dire plus. D'après lui il s'agirait d'un engin capable de changer toute une civilisation de plan d'existence. Providiens et Humain ne se voyant plus, il n'y aurait plus de guerre.

Le Commender Malhax terminait à peine sa phrase, que le petit bip de sa porte d'entrée retentit. Derrière la porte il trouva un soldat visiblement fort agité.

- Messieurs! Dit-il en oubliant tout protocole. Un individu a été arrêté et demande à vous voir en urgence.

- Encore un ivrogne qui veut rejoindre le Victory? demanda Dejond amusé par le trouble du soldat.

- Pas du tout Mon Commandant, il s'agit d'un Providiens. Il dit s'appeler Wi-dadou !

La confédération des peuples unis fut crée en l'an 2254 quelques mois après la grande guerre mondiale qui a vu s'opposé la quasi totalité des pays de la Terre. Les raisons ne seront pas exposé ici, mais les historiens s'accordent pour dire que le cruel manque de nourriture des pays pauvres, comme les Etats Unis, ont poussés ceux-ci à déclarer la guerre au pays riche comme la Chine, L'afrique du Sud ou La Russie.

Après deux ans de lutte, ou chaque pays voulait la nourriture de son pays voisin, un accord de paix fut trouvé. L'Amiral Danois, John Gaverson, proposa alors, la suppression de tous les pays, et la création d'un parlement mondial. L'argent et la nourriture seraient mises en commun.

Il n'aura fallut que quelques mois pour que la nation - terre voit le jour grâce à la volonté du Gaverson et du raz le bol des populations de se faire la guerre.

En l'an 2411 c'est Sir Thomas Visconti, un Britanique d'origine italienne qui est président de la Confédération.

élu pour un mandat unique de 5 ans, il a néanmoins la possibilité de prolonger son mandat pour une durée allant de 1 à 5 ans. le peuple choissisant lui-même la durée de la prolongation si il le lui accorde. Le parlement, consitué par mille députés représantant l'ensemble de la population terrienne. Ces députés sont élus pour des mandats de 5 ans, renouvelable. Pour être eligible il faut être porté par une liste de deux millions de signataire ou être reconu comme héro de la confédération. les milles députés ayant obtenu le plus de voix peuvent siéger durant 5 ans.

Depuis sa création en 2254 et avec le lancement de l'air spatial en l'an 2298. la confédération a rencontré d'autres races et créé d'autres alliances.

Outre les Providiens, avec lesquelle la Confédération est en guerre, les terriens ont rencontrés les Nox, une race d'humanoide fort avancé technologiquement mais manquant cruellement de protection. Deux colonies ont également été fondées : sur la Lune et sur Mars. Mais la Colonie sur Mars est en pleine construction lors de l'attaque Providienne et les quelques centaines de colons n'ont malheureusement pas survécu à l'attaque. 

Pas facile de comprendre comment se déroule les jours et les mois dans la confédération.

C'est pourtant très simple.

Une année se composes de 6 périodes de 61 jours

La première période se nomme Juténon

La seconde période se nomme Brutnénon

La troisième période se nomme Sorténon

La quatrième période se nomme Vazélanon

La cinquième période se nomme Aubénon

La la sixième période se nomme Caténation

La composition de ces périodes se fait selon des journées de 24h et se compte de façon traditionel.

Les jours se claculent comme cela depuis la grande crise de 2150 et la fin des guerres atomiques.

Nom: Nastasi

Prénom: Gaelle

Nationalité: Lunienne

Grade: Lieutenant

Fonction: Chef de la sécurité à bord du Victory.

Gaelle Nastasi est né sur la Lune en l'an 2382. Fille d'un riche homme d'affaire lunien, elle passa son enfance dans les navettes entourée de personnel dévoué à son service. Sur protégée par sa mère et ignoré par son père, elle fini par vouloir se prouver à elle même qu'elle est capable de réussir sa vie. A l'age de 12 ans, dégoutée par sa vie de luxe et désirant prouver à sa famille qu'elle est capable de réussir, elle s'inscrit sous le nom de sa mère, Gabriella Nastasi à un concours de judo. Elle perdra tout ses combats et se fera humiliée devant tous le mond lorsque son père viendra la chercher et l'obligea à reconnaitre publiquement qu'elle est une fille incapable.

Durant deux ans, elle s'entraine comme une folle en secret et décide de tenter sa chance comme championne de judo et d'arts martiaux en général. En l'an 2396, à l'age de 14 ans, elle est championne de la lune de Judo. Deux ans plus tard, elle remporte le titre de championne de la Confédération. Célébre et reconnue par tous, elle annonce sa retraite sportive et rejoins une équipe d'explortion de la galaxie à bord du Trackstar. quatre plus tard, à son retour de mission elle accepte la proposition de la conférédation de suivre les cours de l'académie. Elle en sortira diplomée en l'an 2406 et devient navigatrice à la station de contrôle sur la base de la Lune. Fin de l'année 2410 elle accepte la proposition de servir de le Victory avec le grade de Lieutenant. ses capacités de pilotes et son courage seront récompensé par le poste de chef de la sécurité.

Elle épouse son commender, William Malhax en 2411 quelques mois après la grande bataille contre les Providiens.

Dates clés:

Naissance sur la lune le 16 Bruténon de l'an 2382

Championne lunaire de judo en l'an 2396

Championne confédéral d'arts martiaux en l'an 2398

Sortie de l'académie en l'an 2406

Chef de la sécurité sur le Victory en l'an 2410

Epouse William Malhax en l'an 2411

Le commender Malhax faisait régulièrement le même rêve. Un personnage vêtu de blanc, sans réel visage et avec une voix ressemblant étrangement à un cardinal pendant l'office, venait lui rendre visite pour lui parler.

Il avait fait ce rêve pour la première fois quelques heures après un terrible accident lors d'une manoeuvre d'entrainement à bord de son Viper-Cobra. Cliniquement mort durant un bref instant, William avait fait part de sa vision au medecin qui ne s'était pas alarmé outre mesure. "Il n'est pas rare qu'un individu ayant subit un traumatisme violent nous conte des histoires d'apparitions."

Mais le commender, n'avait jamais osé dire que ces visions étaient persistante et qu'il discutait régulièrement avec.

-Gabe? Est-ce toi?

- Salut William, je vois que tu dors profondément. C'est bien nous aurons du temps pour parler.

- Tu n'existes pas ! laisses moi dormir ! hurla Malhax d'une voix étouffée.

- Allons, allons, si je n'existais pas, je ne pourrais pas te laisser. En tout cas, cela fait plaisir de voir que tu tiens la forme. Mais dis-moi, qui est cette femme qui dors à côté de toi?

Gabe était vraiment un personnage à part. A la fois sympatique et terriblement énervant. Il S'amusait à entrer dans la vie du Commender, comme on entre dans un magasin, il visitait, bougeait les objets, posait une serie de questions, si bien que Malhax devait pratiquement le suplier de partir.

- Gabe! Dit William d'une voix calme. Cette personne est ma femme, nous nous sommes marié il y a quelques mois, juste après la terrible bataille contre les Providiens. Elle s'appel Gaelle Nastasi.

Visiblement intrigué par la présence de la jeune femme, Gabe décida de l'inspecter plus en détail. Amusé, il tira d'un coup sec la couverture qui couvrait le lieutenant  pour s'écrier:

- Mais elle est nue? Je comprends mieux pourquoi vous avez besoin de vous étouffer avec ces couvertures. Les humains sont si étrange. Si pudique et se mettant nu dès que l'occasion s'en présente. Enfin, si c'est votre plaisir...

Malhax, protesta et remonta délicatement la couverture sur les épaules de son épouse. Visiblement énervé et voulant se débarrasser au plus vite de son visiteur imaginaire, Le commender tenta une approche direct.

- Vas-tu me dire ce que tu me veux? Tu n'es pas ici pour nous observer dormir... ou autre chose de plus salace?

- Du calme ! répondit Gabe. Je suis ici pour te parler de choses de la plus haute importance. Je connais un moyen de protéger la terre des Providiens.

William sursauta et se redrassa d'un bond.

- Tu veux dire que tu connais un moyen de battre définitivement les Providiens?

A ces mots une profonde tristesse pouvait se lire sur son visage. Tristesse mélangée à de la colère qu'il s'efforça de contenir.

-Vous êtes incroyable vous les humains. Je vous propose de l'aide et pas d'exterminer une autre race. Il humain et les providiens méritent de vivre. Vous devez apprendre à vous entendre. Je connais un moyen qui vous permettera de vivre en paix. N'est-ce pas important?

- Oui tu as raison. Répondit Malhax confut. Je t'en prie si tu connais un moyen de nous éviter une guerre sans mercis, dis le moi.

Gabe se rapprocha du lit sur lequel le Commender était toujours couché et posa sa mains blanche et trouble sur l'épaule de William.

- Ecoutes attentivement, je n'ai plus beaucoup d'énergie pour communiquer avec toi. alors laisses moi parler sans m'interrompre.

Au cours de ses expéditions de conquêtes, le Grand Wy a visité plusieurs planètes et au passage détruit plusieurs civilisation. Durant ces voyages, il est tombé sur une machine appelé Regriappa. Cet appareil, dont il n'a jamais réussi à ce servir, serait capable de transporter une planète sur dans une autre dimension. Ou plus exactement sous un autre plan d'existance. Vous devez partir à la recherche de outil. Car votre civilisation ne survivra pas à la prochaine attaque. Tu dois...

Gabe se releva soudain et Malhax eut de plus en plus de difficulté à le voir.

- Mes forces m'abandonne dit Gabe. Je dois te laisser. Mais bientôt tu rencontreras un homme qui pourra vous aider. Bonne chance

Malhax tenta de le faire revenir pour lui demander un indice, de l'aide !

- Gabe, Attends ne part pas. Dis moi au moins ou je dois chercher?

Avant de partir, dans un ultime effort de concentration Gabe lança:

- Cherches... Nor... It..